Comment faire un débarras écologique ?

02 Avr 2019

L’engagement écologique de Dubalai Débarras

Selon une étude de l’IPSOS, avant l’arrivée du printemps, 87 % des Français souhaitent faire un tri dans leurs affaires (mobilier, électroménager, vêtements et tout type d’objet). Parmi eux, 42 % décident de revendre les objets récupérables sur internet dans le but de leur offrir une seconde vie.

Pour mener à bien un débarras écologique, il faut prendre le temps de bien penser chacune de ses étapes. Et c’est le souci principal de ce type de débarras : le temps ! On n’en dispose pas toujours comme on le souhaiterait.

L’équipe de Dubalai Débarras s’engage à organiser votre vide-maison dans les conditions les plus respectueuses de l’environnement possibles. Nous prenons grand soin de limiter notre impact écologique, tant dans le tri des objets, dans le choix de nos produits de nettoyage et d’entretien que dans les transports.

Que faire des différents types d’objets et matériaux dans un débarras écologique ?

Le tri est la base de tout bon débarras. Et difficile d’être en accord avec ses convictions écologiques en jetant tout à la poubelle !

Tous les objets sont séparés et assemblés par catégorie minutieusement :

• Ce qui peut être nettoyé et conservé ;
• Ce qui doit être jeté, notamment en déchetterie pour traitement spécial ;
• Ce qui peut être réutilisé, donné ou vendu.

À chaque déchet sa benne

En effet, débarrasser une maison demande un gros travail de tri, car en déchetterie on ne jette pas ses déchets n’importe où !

Pour vous aider, voici une liste des différents types de déchets :

• Les encombrants : taille supérieure à 1 m 50
• Les incinérables : déchets de petite taille venant à brûler
• Ferrailles et métaux
• Gravats
• Plâtre
• Electroménagers
• Produits inflammables

Si vous êtes contraint par le temps, il existe des professionnels du débarras comme Dubalai Débarras qui propose des services tel que :

• débarras unique (canapé, machine à laver)
• débarras intégral d’une maison, pouvant même être gratuit !

Piles, électroménager et ustensiles de cuisine : comment les traiter ?

Il est primordial de ne pas jeter les piles et les ustensiles de cuisine usagés dans la poubelle des ordures ménagères. En effet, ces objets contiennent des produits toxiques, néfastes pour l’environnement. Ils ne peuvent pas être brûlés avec les ordures classiques.

D’une part, les piles contiennent, dans des proportions différentes, des métaux lourds : nickel, mercure, lithium ou cadmium. Une pollution des eaux et du sol par ces substances engendre un dérèglement grave de l’équilibre du milieu naturel, qui peut être irréversible. Les piles, batteries et autres systèmes de recharge doivent donc être apportés en déchetterie pour subir un traitement spécifique. Au quotidien, il est possible de les déposer dans des bornes de collecte à l’entrée des grandes surfaces.

D’autre part, les poêles et autres instruments de batterie de cuisine en téflon ne sont pas non plus anodins pour l’environnement. Les composés perfluorés (ou PFC), qui limitent l’adhésion de la nourriture dans la poêle ou la casserole, ont déjà été retrouvés dans le milieu naturel, et même dans le système digestif de certains animaux. Il convient donc de les apporter au point dédié à ce matériel dans les déchetteries agréées, ainsi que les appareils électriques et électroniques défectueux.

Produits d’entretien entamés et usagés : que faire ?

Les Déchets Dangereux des Ménages (ou DDM), comme les produits de nettoyage, pour le bricolage ou le jardinage, ne sont pas biodégradables. Compte tenu de leur composition, ce sont des substances nocives, voire toxiques, pour la santé humaine et environnementale.

Sous forme de spray, d’aérosols ou de flacons standards, tous ces produits d’entretien doivent passés par des filières de retraitement dédiées et très contrôlées.

Les fabricants soucieux de la réglementation en vigueur indiquent la marche à suivre sur l’étiquetage de leurs produits. Prenez le temps de lire les étiquettes : c’est un temps précieux gagné et une manière concrète de participer à la protection de l’environnement.

Le cas particulier des Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux (ou DASRI), que l’on peut trouver chez des personnes atteintes de maladies chroniques nécessitant des soins quotidiens, sont traités dans certaines déchetteries uniquement. Tenant compte de leur spécificité et de leur dangerosité accrue, il est nécessaire de s’informer du lieu de collecte et de traitement propice avant le départ.

Débarras écologique : penser aussi à la logistique du transport !

Bien trier les objets, nettoyer et jeter les déchets au bon endroit, c’est bien. Mais, lors d’un véritable débarras écologique, prendre en plus l’habitude de limiter ses allées et venues, c’est d’autant mieux ! Le transport est un maillon essentiel dans la logistique d’un débarras, qu’il ne faut pas laisser de côté.

Effectivement, lorsque l’on débarrasse, surtout dans le cas d’une maison entière, les trajets entre le logement et la déchetterie peuvent vite se multiplier. Pour parer à cela et limiter les allers-retours incessants, il convient d’optimiser au maximum le chargement de chaque transport. Le tout est de trouver le juste équilibre entre la protection environnementale et une surcharge inconsidérée du camion ou d’un autre moyen de transport.

Diminuez finalement et durablement l’empreinte écologique de votre débarras en confiant ce dernier à des professionnels du métier. Le temps gagné dans la logistique, l’expertise rapide et fiable du travail à effectuer, la connaissance du terrain et de la législation sont autant d’atouts pour faire appel à l’équipe de Dubalai Débarras et vous simplifier la vie !